Paroles de Chansons

"Premier abord
Homme à la mer
Hommage amer
Un chat viré
Par dessus bord

Désert, des grands airs
Doute entier, doute entier
Auquel peuvent s'ajouter
Des oiseaux mazoutés..."

Noir Désir - Des visages des Figures

"Mais l’enfant, épanchant une immense douleur,
Cria soudain : “Je sens s’élargir dans mon être
Un abîme béant ; cet abîme est mon cœur!

Brûlant comme un volcan, profond comme le vide !
Rien ne rassasiera ce monstre gémissant
Et ne rafraîchira la soif de l’Euménide
Qui, la torche à la main, le brûle jusqu’au sang

Que nos rideaux fermés nous séparent du monde,
Et que la lassitude améne le repos !
Je veux m’anéantir dans ta gorge profonde
Et trouver sur ton sein la fraîcheur des tombeaux !”"

Baudelaire par Saez - ébauche n°2

"tant mieux si ca te plait de me voir souffrir
Et brûler de désir
plus qu'une poile à frire
...

"Le ramoneur
s'lève de bonne heure
pour ramoner
les cheminées
'Crèpes Suzettes!
En traversant
l'avenue masscurdant
Un routier
l'as écrasé!
'Crèpe Suzette!
Le ramoneur est aplatis
Le ramoneur est aplatis
Le ramoneur est aplatis

'Crèpe Suzette!

"Quand ton moral est à zéro
Si t'es malade si il fait pas beau
T'aimerais pouvoir bien t'amuser
Sans être obligé de te droguer
Mais pour s'marrer il faut des sous
Ou de amis mais toi t'as walou
Alors petit suis mon conseil
Pour t'éclater si t'as pas d'oseille


Tue tes parents
Tue tes parents
Tu verras s'est marrent
Tue tes parents
Tue tes parents
Avant que t'ais 18 ans comme ca t'iras pas en tolle

Si tu trouves que la vie est dure
Sois sympa ne brule pas ma voiture
Toute cette fumée ça va polluer
Et c'est mal d'embêter les pompiers
Alors plutôt que de boire de l'alcool
D'acheter du shit ou sniffer de la colle
Ne parle pas aux inconnus
Arrête de trainer dans les rues

Conteur: Sir Quentin preux chevalier
Galopant par vaux et monts
De mil hommes faisant armée
Ou vainqueur les mè-ee-enes-tu donc?
Sir Quentin: De part les brumes oyez ces longues plaintes
Meurtrie cette asme l'on déchiré
Messire Roy de cette infante
Salut m'envoye guérir
Conteur: Dame blandine du peuple emprise
Quêtant grâce à l'horizon
Depuis jours ainsi soumise
Mêlant merci du plus haut du donjon
Dame Blandine: Messire Messire d'une vierge prenez pitié
Du peuple l'ire a condamné
Donnez secours chevalier
Mon coeur Conquesriray
Le peuple: De reste disettes de misère
Vous faisons grief ô Messire
Du peuple le Roy n'a que faire
De sa fille ferons du mini-mir
Sire Quentin: Saltimbanques pouacres fi de vous ouh ouh
De mon père transperai
ô bee-ee-elle dame Blandine
Vous dé-élivrerai
Le peuple: A nous venir chevalier
Si tel vos dires courage avez
Opposeront à votre épée
Fourches bâtons pierres et pavés
Conteur: Vers le donjon sire Quentin fou de rage
Mena bataille telle foudre tombée
De part les morts et les cadavres
Chemin se frayait
Boum! Schglink! Plaf! Boum!
Dans le donjon sire Quentin fou de rage
S'écria "Dieu soye-je dasmne!"
Découvroyant que dame Blandine
Une vache en fait était (3x)
Eve Ribody: La la la la la la la
La la la la la la la
La la la la la la la
La la la la la la la la la
Al Touguezeur: La la la la la la la la la
La la la la la la la
La la la la la la la
La la la la la la la

https://www.dailymotion.com/video/x6kl0p_ludwig-von-88-messire-quentin_music

Sex and Violence. Sex and Violence
Sex and Violence. Sex and Violence
Sex and Violence. Sex and Violence
Sex and Violence. Sex and Violence

Sex and Violence. Sex and Violence
Sex and Violence. Sex and Violence
Sex and Violence. Sex and Violence
Sex and Violence. Sex and Violence

Sex...Ha Ha Ha! (Sex and Violence)
Sex!! I love sex I love all them sex all them sex
Sex! Ha Ha!!

Sex and Violence. Sex and Violence
Sex and Violence. Sex and Violence
Sex and Violence. Sex and Violence
Sex and Violence. Sex and Violence

Stop non, pas ce soir Joséphine.

I dumped you again
I don't understand
It's happened before
Can't take it no more

These foolish games
Always end up in confusion
I'll take you back
Just to leave you once again

I died in my dreams
What's that supposed to mean?
Got lost in the fire
I died in my dreams
Reaching out for your hand
My fatal desire

I've failed you again
'Cause I let you stay

I used to pretend
That I felt ok
Just one big lie
Such a perfect illusion

I made you mine
Just to hurt you once again

I died in my dreams
What's that supposed to mean?
Got lost in the fire
I died in my dreams
Reaching out for your hand
My fatal desire

"Je l'ai rêvé si fooooooooort que les draps s'en souvieeennent" ♪ ♫

Citation :

"Je l'ai rêvé si fooooooooort que les draps s'en souvieeennent" ♪ ♫

c'était.... très sale....






People just ain't no good
I think that's welll understood
You can see it everywhere you look
People just ain't no good

We were married under cherry trees
Under blossom we made pour vows
All the blossoms come sailing down
Through the streets and through the playgrounds

The sun would stream on the sheets
Awoken by the morning bird
We'd buy the Sunday newspapers
And never read a single word

People they ain't no good
People they ain't no good
People they ain't no good

Seasons came, Seasons went
The winter stripped the blossoms bare
A different tree now lines the streets
Shaking its fists in the air
The winter slammed us like a fist
The windows rattling in the gales
To which she drew the curtains
Made out of her wedding veils

People they ain't no good
People they ain't no good
People they ain't no good at all

To our love send a dozen white lilies
To our love send a coffin of wood
To our love let aal the pink-eyed pigeons coo
That people they just ain't no good
To our love send back all the letters
To our love a valentine of blood
To our love let all the jilted lovers cry
That people they just ain't no good

It ain't that in their hearts they're bad
They can comfort you, some even try
They nurse you when you're ill of health
They bury you when you go and die
It ain't that in their hearts they're bad
They'd stick by you if they could
But that's just bullshit
People just ain't no good

People they ain't no good
People they ain't no good
People they ain't no good
People they ain't no good at all

Zaléra Death Angel a écrit:

Citation :

"Je l'ai rêvé si fooooooooort que les draps s'en souvieeennent" ♪ ♫

c'était.... très sale....

Venant d'un groupe appelé "Il était une fois" et d'une chanson nommée "J'ai encore rêvé d'elle" ça passe tout seul. Dans la nuit. Et encore, la suite ça fait "je dormais dans son corps, bercé par ses je t'aime" \o/ Je me suis toujours demandée à quel niveau se situait le narrateur

Law a écrit:

Zaléra Death Angel a écrit:

Citation :

"Je l'ai rêvé si fooooooooort que les draps s'en souvieeennent" ♪ ♫

c'était.... très sale....

Venant d'un groupe appelé "Il était une fois" et d'une chanson nommée "J'ai encore rêvé d'elle" ça passe tout seul. Dans la nuit. Et encore, la suite ça fait "je dormais dans son corps, bercé par ses je t'aime" \o/ Je me suis toujours demandée à quel niveau se situait le narrateur

je n'ai aucun doute pour ce qui est du niveau... par contre j'ai des interrogations en ce qui concerne la profondeur...

Visiblement c'est pas assez profond à son goût, mais pour ma part je préfère ne pas approfondir.

« Just a perfect day,
Problems all left alone,
Weekenders on our own.
It's such fun.
Just a perfect day,
You made me forget myself.
I thought I was someone else,
Someone good.

Oh it's such a perfect day,
I'm glad I spent it with you.
Oh such a perfect day,
You just keep me hanging on,
You just keep me hanging on. »

Ooh eeh ooh aah aah
ting tang walla walla bing bang
Ooh eeh ooh aah aah
ting tang walla walla bing baaaang

I told the Witch doctor, I was in love with you,
I told the witch doctor, I was in love with you,
And then the witch doctor, he told me what to do,
He told me :

OOH EEH OOH AAH AAH
TING TANG WALLA WALLA BING BANG
OOH EEH OOH AAH AAH
TING TANG WALLA WALLA BING BAAAAAAAAANG

Moi je met les lyrics de 'no woman no cry' chanson pour laquelle il y a selon moi deux interpretations...
1/ une fille pleur et il l'a console en luis faisant voir les bons coté...
2/ il vient de se faire jeter, et au lieux de pleurer de cette perte se rappelle seulement les bons moments avant de tourner la page.

alors voila :

'Cause I remember when we used to sit
In the government yard in Trenchtown
Oba, ob-serving the hypocrites
As they would mingle with the good people we meet
Good friends we have had, oh good friends we've lostalong the way
In this bright future you can't forget your past
So dry your tears I say

No woman, no cry
No woman, no cry
Little darlin' don't shed no tears
No woman, no cry

Said, said, said I remember when we used to sit
In the government yard in Trenchtown
And then Georgie would make the fire light
Log wood burnin' through the night
Then we would cook corn meal porridge
Of which I'll share with you

My feet is my only carriage
So I've got to push on through
But while I'm gone i mean...

Ev'rything's gonna be alright
Ev'rything's gonna be alright
Ev'rything's gonna be alright
Ev'rything's gonna be alright
Ev'rything's gonna be alright
Ev'rything's gonna be alright
Ev'rything's gonna be alright
Ev'rything's gonna be alright now

No woman, no cry
No, no woman, no woman, no cry
Oh, little darling, don't shed no tears
No woman, no cry

No woman, no woman, no woman, no cry
No woman, no cry
Oh, my little darlin' please don't shed no tears
No woman, no cry, yeah


première traduction :

Non femme ne pleure pas
Non femme ne pleure pas

Je me rappelle du temps où nous nous asseyions dans la cour de Trenchtown
Nous regardions les hypocrites qui voulaient se joindre aux gens biens
Oh mes bons amis, nous nous sommes perdus le long du chemin
Dans ce futur prometteur, vous ne pouvez pas oublier votre passé
Alors essuie tes larmes et :

Non femme ne pleure pas
Non femme ne pleure pas
Oh ma chérie, ne verse pas de larmes (dans le sens faut pas pleurer)
Non femme ne pleure pas

Je me rappelle du temps où nous nous asseyions dans la cour de Trenchtown
Et puis Georgie allumais le feu
Envoyant du bois brûler à travers la nuit
Et on cuisinait notre porridge de maïs
Lequel je partagerai avec toi
Mes pieds sont mon seul moyen de transport
C'est pourquoi je dois il y aller
Mais alors que je pars j'espère que
Tout ira bien
Tout ira bien
Tout ira bien maintenant

Non femme ne pleure pas
Non femme ne pleure pas
Oh ma chérie, ne verse pas de larmes
Non femme ne pleure pas.



deuxième :

Pas de femme Pas de pleure
Pas de femme Pas de pleure

Je me rappelle du temps où nous nous asseyions dans la cour de Trenchtown
Nous regardions les hypocrites qui voulaient se joindre aux gens biens
Oh mes bons amis, nous nous sommes perdus le long du chemin
Dans ce futur prometteur, vous ne pouvez pas oublier votre passé
Alors essuyez vos larmes

Pas de femme Pas de pleure
Pas de femme Pas de pleure
Ma petite chérie, ne verse pas de larmes (dans le sens elle ne verse pas de larmes)
Pas de femme Pas de pleure

Je me rappelle du temps où nous nous asseyions dans la cour de Trenchtown
Et puis Georgie allumais le feu
Envoyant du bois brûler à travers la nuit
Et on cuisinait notre porridge de maïs
Que je partagerai avec toi
Mes pieds sont mon seul moyen de transport
C'est pourquoi je dois il y aller
Mais alors que je pars je sais que
Tout ira bien
Tout ira bien
Tout ira bien maintenant

Pas de femme Pas de pleure
Pas de femme Pas de pleure
Ma chérie, ne verse pas de larmes
Pas de femme Pas de pleure.


y'a peut de gens qui adhèrent à la deuxième mais je la trouve tellement plus subtile ^^)p

Chais pas ^^

« Les dingues & les paumés jouent avec leurs manies
Dans leur chambres blindées leurs fleurs sont carnivores
& quand leurs monstres crient trop près de la sortie
Ils accouchent des scorpions & pleurent des mandragores
& leurs aéroports se transforment en bunkers
À 4 heures du matin derrière un téléphone
Quand leurs voix qui s'appellent se changent en revolvers
& s'invitent à calter en se gueulant "come on"

Les dingues & les paumés se cherchent sous la pluie
& se font boire le sang de leurs visions perdues
& dans leurs yeux mescal masquant leur nostalgie
Ils voient se dérouler la fin d'une inconnue
Ils voient des rois fantômes sur des flippers en ruine
Cachant l'amour-folie de leurs nuits métropoles
Ils croient voir venir Dieu ils relisent Hölderlin
& retombent dans leurs bras glacés de baby-doll »

Elle met du vieux pain sur son balcon
Pour attirer les moineaux, les pigeons
Elle vit sa vie par procuration
Devant son poste de télévision
Levée sans réveil
Avec le soleil
Sans bruit, sans angoisse
La journée se passe
Repasser, poussière
Y'a toujours à faire
Repas solitaires
En points de repère
La maison si nette
Qu'elle en est suspecte
Comme tous ces endroits
Où l'on ne vit pas
Les êtres ont cédé
Perdu la bagarre
Les choses ont gagné
C'est leur territoire
Le temps qui nous casse
Ne la change pas
Les vivants se fanent
Mais les ombres, pas
Tout va, tout fonctionne
Sans but, sans pourquoi
D'hiver en automne
Ni fièvre, ni froid
Elle met du vieux pain sur son balcon
Pour attirer les moineaux, les pigeons
Elle vit sa vie par procuration
Devant son poste de télévision
Elle apprend dans la presse à scandale
La vie des autres qui s'étale
Mais finalement, de moins pire en banal
Elle finira par trouver ça normal
Elle met du vieux pain sur son balcon
Pour attirer les moineaux, les pigeons
Des crèmes et des bains
Qui font la peau douce
Mais ça fait bien loin
Que personne ne la touche
Des mois, des années
Sans personne à aimer
Et jour après jour
L'oubli de l'amour
Ses rêves et désirs
Si sages et possibles
Sans cri, sans délire
Sans inadmissible
Sur dix ou vingt pages
De photos banales
Bilan sans mystère
D'années sans lumière

A force de frapper l'enclume
De regarder passer les lunes
Tu sais parler de nos aïeux
Comme s'ils n'avaient jamais été vieux

La cheminée s'étonne encore
La charrue ne s'essouffle plus
Tu ressemble à ces chercheurs d'or
Qui auraient un secret de plus

Ta bouche est sucrée de légendes
Que l'on déguste comme un festin
Un festin qui n'est pas à vendre
Mais qui donne comme un matin

Et quand l'hiver trompe l'automne
Se prenant pour le printemps
Tu nous parle d'une anémone
Poussée au cœur de tes vingt ans

Puisse cette ôde rester à Emile
Au plus vieux maréchal ferrand
Puisse cette ôde rester à Emile
Au petit Vieux de tous les temps

Quand la machine ne tourne plus
Que l'heure du glas approche
On se chante un tout petit vin
On se boit un dernier refrain

Et puis tranquille
On peut partir torcher le cul
Au firmament.

T'as kiffé Ange hein

Ouais

Je continue dans la traduction de truc des plus joyeux XD :

People just ain't no good
I think that's welll understood
You can see it everywhere you look
People just ain't no good

We were married under cherry trees
Under blossom we made pour vows
All the blossoms come sailing down
Through the streets and through the playgrounds

The sun would stream on the sheets
Awoken by the morning bird
We'd buy the Sunday newspapers
And never read a single word

People they ain't no good
People they ain't no good
People they ain't no good

Seasons came, Seasons went
The winter stripped the blossoms bare
A different tree now lines the streets
Shaking its fists in the air
The winter slammed us like a fist
The windows rattling in the gales
To which she drew the curtains
Made out of her wedding veils

People they ain't no good
People they ain't no good
People they ain't no good at all

To our love send a dozen white lilies
To our love send a coffin of wood
To our love let aal the pink-eyed pigeons coo
That people they just ain't no good
To our love send back all the letters
To our love a valentine of blood
To our love let all the jilted lovers cry
That people they just ain't no good

It ain't that in their hearts they're bad
They can comfort you, some even try
They nurse you when you're ill of health
They bury you when you go and die
It ain't that in their hearts they're bad
They'd stick by you if they could
But that's just bullshit
People just ain't no good

People they ain't no good
People they ain't no good
People they ain't no good
People they ain't no good at all
_______________________________
Les gens sont simplement mauvais
Je crois que vous comprenez ce que je vaux dire
Vous le voyez où que vous regardez
Les gens sont simplement mauvais

Nous nous étions mariés sous des cerisiers
Sous leurs pétales nous avions échanger nos vœux
Tous les pétales volaient
À travers les rues et les terrains de jeux

Le soleil persait à travers les feuilles
Réveillé par l'oiseau du matin
Nous achetions les journaux du dimanche
Sans jamais en lire un seul mot

Les gens sont simplement mauvais
Les gens sont simplement mauvais
Les gens sont simplement mauvais

Les saisons vont et viennent
L'hiver a dépouiller les arbres de leurs fleurs
Ce sont des arbres différents qui entourent les rues
Secouant leurs poings dans les airs
L'hiver nous a frapper comme un poing
Le cliquetis des fenêtres dans le vent
Pour lequel elle tire les rideaux
Réalisés à partir de son voile de mariée

Les gens sont simplement mauvais
Les gens sont simplement mauvais
Les gens sont simplement mauvais

Pour notre amour envoyez une douzaine de lys blanc
Pour notre amour envoyez un cercueil de bois
Pour notre amour laissez tous les pigeons roucouler
Ces gens sont simplement mauvais
Pour notre amour renvoyez toutes les lettres
Pour notre amour une valentine sanglante
Pour notre amour que tous les amoureux solitaires pleurent
Les gens sont simplement mauvais

Ce n'est pas qu'ils soient mauvais dans leur cœur,
Ils peuvent vous réconforter, certains tentent même
de vous soigner quand vous êtes malade
Ils vous enterrer quand vous êtes partis et mort
Ce n'est pas qu'ils soient mauvais dans leur cœur,
s'ils pouvaient ils se colleraient à votre place
Mais c'est juste des conneries
Les gens sont simplement mauvais

Les gens sont simplement mauvais
Les gens sont simplement mauvais
Les gens sont simplement mauvais
Les gens sont simplement pas bons du tout

« Le chevalier la mort & le diable s'enfuient
des pinceaux de Dürer pour absorber la nuit
Tandis que Mélusine aux longs cheveux défaits
t'organise une party dans la brume des marais
& dessine sur ton membre une cartographie
des ténèbres où t'attendent quelques maillons maudits
puis traverse le désert jusqu'à la Thébaïde
où la fée méridienne de tes éphémérides
extirpant ton sourire poisseux de l'habitude
te révèle les fastes de la solitude »